L’ouverture des négociations en vue d’un accord de libre-échange entre l’UE et la Tunisie, voté par le Parlement européen ce jour, poursuit le travail d’annexion économique amorcé par le FMI, imposant des réformes pour l’octroi de 300 millions d’euros de prêt au titre d’assistance macrofinancière (AMF). Claqué sur le modèle des « accord de libre-échange approfondi et complet » (ALECA), cet accord prévoit entre autre l’abolition totale des droits de douanes, régulations et aides d’État. Mais,…