Entre deux moments de pauses et une grosse semaine avant ma reprise d’activité publique, je reprends le clavier pour quelques mots d’analyse. Je commence par l’information majeure à mes yeux, la remontée au 8 aoûtt de la date à partir de laquelle notre civilisation entre en dette écologique. Vertige de la catastrophe annoncée !
Peut-être avez-vous noté que j’ai tenu à être à mon poste de prise de parole dans les circonstances si douloureuses des meurtres qui ont émaillé cette partie de l’été en France. Dans ces moments-là, j’interviens sur ma page Facebook et nombreux sont ceux qui m’adressent alors un signe ou un commentaire, amical ou hostile, selon les convictions.
Au demeurant, le plus souvent je me concerte avec Alexis Corbière qui est mon porte-parole, comme on le sait, et nous fixons ensemble les grands traits du message qu’il porte ensuite sur les médias. J’estime donc que mon point de vue a été efficacement représenté.
Ici, donc, sans me lancer dans une analyse détaillée j’ai voulu dire à froid ce que je ressentais et analysais de ces moments et que j’ai gardé pour moi quand l’ambiance me paraissait trop exaltée.
Puis je dis deux mots de la parution de mon prochain livre, un entretien biographique avec le journaliste Marc Endeweld intitulé « Le choix de l’insoumission ». En effet j’ai découvert qu’il était annoncé sur les sites qui le vendent par correspondance. Il me semblait donc urgent de dire à ceux qui me lisent ici ce que ce livre veut faire dans ma campagne et dans l’éventail des moyens éditoriaux que je mets en œuvre.
J’ai pensé que ce serait bien de faire un suivi de l’analyse de la campagne « je vote, ils dégagent » que mène la caravane des insoumis au fil des quartiers populaires Je ne raconte pas le déroulement. On peut en suivre le reportage sur Facebook.
J’évoque aussi la mort du jeune Adama Traoré parce que je n’accepte pas qu’elle soit reléguée au rayon des faits divers.
Et je réserve le reste de mes réflexions pour mon discours au pique-nique fin août à Toulouse. À moins que je sois ramené au clavier par les circonstances.
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