C’est sans doute la nouvelle qui devrait concentrer l’intérêt des producteurs de ce que l’on appelle l’actualité. Je pense à l’avancée affolante du jour à partir duquel notre société prélève davantage sur la planète que ce que celle-ci peut reconstituer. Cette année, c’est le 8 août déjà. Jusqu’à la fin de l’année nous vivons à crédit, en quelque sorte, sur l’année suivante ! En cause le fonctionnement ordinaire de notre mode de production, d’échange…