Je veux marquer le coup. Mardi 7 janvier, mon collègue insoumis Loïc Prud’homme a interpellé Elisabeth Borne, ministre de la transition écologique et Didier Guillaume, le ministre de l’agriculture. Il s’agissait de montrer du doigt leur politique si amie des pesticides, alignée sur l’industrie chimique. La réponse fut le traditionnel flot de mensonges auto-satisfaits faisant hurler de joie les députés Playmobil de LREM que la mauvaise conscience tenaillait un peu. C’est pourquoi j’y reviens…