Le début de notre campagne présidentielle se déroule aussi bien qu’on pouvait le vouloir. La salve adverse initiale s’est écroulée sans trop de bruit. Tout a fait flop : « ce n’est pas le bon moment », « ce n’est pas légitime », « le compteur de signatures est truqué » (un journaliste de Marianne essayant pour le prouver de glisser deux fausses signatures) et ainsi de suite. Ce piano mécanique du dénigrement a joué ses notes sans intéresser…