Pas moins de quatre « unes » de médias hostiles m’ont été consacrées depuis la fin du débat à l’Assemblée sur la retraite à 64 ans. Les articles qui s’y rapportent ne nous apprennent rien, sinon une nouvelle crise de rage des éditorialistes. On retrouve l’ambiance de la présidentielle où le flot des sarcasmes et des piques avait été déjà abondant (mais efficace pour me priver de 400 000 voix qui me séparaient du second tour). Aucun…