Deux ou trois fois par an, j’écris sur l’international. Souvent l’été où l’actualité politique décroit en France. Je laisse de côté les divers amuse-gueules de la saison des universités d’été. Telles sont les polémiques sur le rappeur Médine et autres facéties à parfum suprématiste de la macronie pour pourrir l’été des autres, et de la classe médiatique pour avoir de quoi parler. De bonne guerre, mais vain : sous le maillot de bain souvent pas…