Le président de l’université de Lille n’est pas un nazi. Madame la ministre, si je pensais qu’un nazi présidait l’Université de Lille, je le dirais, sans peur de vous et de vos plaintes. Je ne pense pas que le président actuel le soit. Je l’ai même qualifié de « brave homme sans doute » dans mon discours. Je ne dirais jamais d’un nazi qu’il est « un brave homme sans doute ». J’ai dénoncé son exemple de lâcheté…