Il était dix heures le matin et j’allais à l’Assemblée nationale comme invité du groupe des députés insoumis pour la dernière réunion de la session parlementaire. J’ai ouvert ma messagerie téléphonique entre Strasbourg-Saint-Denis et Invalides, ligne 8. J’y ai trouvé des mots amicaux de solidarité personnelle. De cette façon, j’ai appris l’agression et le saccage de ma maison dans le Loiret, 18 heures après qu’il ait été constaté et déjà bien diffusé dans les…