De Mexico où je me trouve, ma pensée inquiète est tournée vers les élections en Allemagne. Le premier fruit de la débâcle allemande actuelle est sur le terrain de la politique internationale. Merz, le prochain Chancelier nous dit-on, demanderait la protection du parapluie nucléaire français et anglais. Je prévois certains enthousiasmes de principe. J’assume ma froideur de principe et celle des insoumis. L’idée d’accepter d’être vitrifié pour l’Allemagne mérite réflexion approfondie. Et avant de…