Cela a été une exécution en règle. La ministre du travail, Muriel Pénicaud, y avait mis son esprit d’escalier et tout le tranchant mépris : « Premièrement, les contrats aidés sont extrêmement coûteux pour la nation. Deuxièmement, ils ne sont pas efficaces dans la lutte contre le chômage. Troisièmement, ils ne sont pas un tremplin pour l’insertion professionnelle. » Trois mensonges en une phrase. Premièrement un « emploi aidé » coûte 7000 € au Trésor public, tandis que…