L’état d’urgence c’était donc bien ça : un instrument de plus pour criminaliser les mouvements sociaux ! Perquisitions, mises en résidence surveillée, pluie d’interdiction de manifester se multiplient. Pendant les deux jours qui ont précédé l’ouverture de la COP21, la lutte contre le terrorisme marquait d’étranges points avec des lettres de cachets assignant à résidence toutes sortes de militants écologistes. Pourtant une chaine humaine très réussie a permis dimanche que l’honneur de Paris dans la prise…