Le 9 juillet 2018, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de Ruth Elkrief pour parler du discours d’Emmanuel Macron au Congrès de Versailles. Il a dénoncé des propos narcissiques et une pente qui renforce la monarchie présidentielle. Surtout, il a expliqué que pour la première fois, le président Macron n’assumait pas sa politique et tenait un discours prétendument social alors que ses actes sont à l’opposé de ses mots. Concernant la politique européenne, le président du groupe « La France insoumise » à l’Assemblée nationale a rappelé la stratégie plan A / plan B et a expliqué que l’élection européenne serait un référendum pour dire « stop Macron ».
L’autoritarisme est avéré, le totalitarisme pointe
Au soir du treizième épisode des samedis gilets jaunes, naturellement, « le mouvement s’essouffle » et « la violence est insupportable ». S’il y a des blessés ce serait de leur faute. Mais le « professionnalisme des forces de l’ordre devrait être salué ». Airs connus. Une camionnette de l’opération sentinelle brûle ? Aussitôt le ministre de l’Intérieur accuse les gilets jaunes. Vérification faite, l’homme en état d’ébriété qui a fait le coup n’a rien à voir avec le mouvement. Pas d’excuses. Pas davantage pour le gilet jaune photographe qui a eu sa main arrachée a propos duquel un questeur LREM de l’Assemblée nationale dit qu’il n’a perdu que quatre doigts et qu’il est ou bien un black bloc ou bien quelqu’un qui donnait l’assaut à l’Assemblée Nationale.Lire la suite…