Jour après jour, dans une ambiance crépusculaire, Marseille s’enfonce dans la forme la plus violente des crises du logement, celle où l’incurie et la cupidité ont fait naître un monde où les bâtiments s’effondrent ou menacent de mort les habitants qui les occupent. Sur le terrain, les équipes d’insoumis font du mieux qu’ils peuvent pour se rendre utiles. Ma permanence, les écrivains publics, tout est mobilisé car c’est là que viennent nombre de personnes…