Comme on le devine, j’ai reçu de nombreux courriers à propos de mon emprunt à Edouard Glissant du concept de « créolisation ». D’une façon générale, l’échange a été assez intellectuel et mes contradicteurs ont bien argumenté leur point de vue. Les partisans de l’idée et de son usage pour décrire le moment de dépassement entre « identité » et universalisation se sont le plus souvent appuyés sur des exemples concrets et ce fut assez stimulant. Un de…