Le 10 juillet, le G20 a signé un accord pour un impôt minimum mondial pour les multinationales. Cela parait être une bonne nouvelle. Malheureusement, le mot clé ici est bien « minimum ». On est loin de la « plus grande révolution fiscale depuis un siècle » annoncée pompeusement par Bruno Le Maire dans un tweet rappelant Sarkozy annonçant en 2009, déjà après un G20 : « les paradis fiscaux, c’est fini ». En réalité, le taux d’impôt minimal…