Élisabeth Borne a tourné en rond dans l’autosatisfaction lors de son interview d’une totale grisaille technocratique. Elle est la figure de proue d’un système à bout de souffle, dangereuse faiblesse au moment où la République est frappée au visage par une faction policière séditieuse. É. Borne pataugeait sur BFM dans le verbiage des mots convenus et de la langue de bois la plus éculée. Incapable d’expliquer la nouvelle composition du gouvernement, incapable d’un mot…