Cette histoire d’abaya est surtout un crève-cœur. Je laisse de côté la volonté de diversion. Beaucoup l’ont parfaitement comprise. Les crédules, ce gibier des manipulateurs, s’y laisseront sans doute prendre comme d’habitude. Mais à mes yeux ce n’est pas l’essentiel. Eux et les gens « de passage » sous la douche médiatique oublieront à la prochaine charge de captation affective. Car telle est la fonction essentielle de ce type de « débats » : accaparer par des émotions collectives…