Les interventions du président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale, Eric Coquerel, sont une aide précieuse à la compréhension des événements. Sans lui on se perd dans le jeu de rôle médiatico politique où les gentils font assaut entre eux de « moi je suis responsable donc je discute ». Certes ceux qui suivent de près voient bien la comédie et le vide. Mais aussi l’impréparation de certains protagonistes qui disent souvent…