Pour le 4ᵉ nouveau gouvernement Macron en un an, le vieux monde politicien avait besoin d’un bain de jouvence, d’une joyeuse nouveauté, d’une pétillante redistribution de rôles, d’un dévidoir à bla-bla distrayant sur les chaînes d’info en continu. Puisque les élections ne peuvent plus « purger les crises », le spectacle doit prendre le relais et susciter les émotions compensatoires à la désolation d’un fond de scène immobile. Le sketch des ministres « inconnus…