On ne peut croire que tant d’éditorialistes, tant de chroniqueurs, tant de demi-sel de la politique et du divertissement, se déshonoreraient comme ils le font à cette heure avec ce feu roulant d’insultes, d’invectives et de manipulations sans une raison brûlante. Pour le front des libéraux européens, les pillards de la Grèce, les brutes sociales groupies de Merkel, les milliardaires et le MEDEF, la bataille de France est commencée. Pour eux, après les escarmouches…