Au cours de mon déplacement aux Antilles, en Martinique et en Guadeloupe, j’ai été naturellement interrogé sur le crédit d’impôt dont bénéficient ceux qui « investissent » dans ces deux îles. Voilà bien toute l’aberration d’un système devenu fou à force de croire aux contes à dormir debout de la doxa libérale. Ici, pour assurer l’épanouissement d’un territoire, surtout « ultra-périphérique », seule compterait l’initiative individuelle, extralucide et bienveillante. En France outre-mer, l’État dépense donc plus en cadeaux…