Telle est dorénavant l’Union européenne. Un revolver sur la tempe, une nation déjà asphyxiée et placée sous blocus financier doit conclure un « accord » après treize heures de « discussion ».
Cet « accord », négocié dans un cadre restreint, sans aucune existence dans les institutions européennes. En apparence, il y a trois présents du côté des bourreaux mais Donald Tusk et François Hollande sont de simples assesseurs d’Angela Merkel. Le gouvernement d’Alexis Tsipras a résisté pied à pied comme nul autre ne l’a aujourd’hui fait en Europe. Il accepte donc un armistice dans la guerre qui lui est menée.
Nous condamnons cette guerre, ceux qui la mènent et leurs objectifs. Nous condamnons les sacrifices encore demandés au Grecs et la violence qui leur est imposée. Nous soutenons Alexis Tsipras et son combat pour permettre la résistance du peuple grec. Nous savons que le meilleur atout de la Grèce serait la victoire de Podemos en Espagne et la nôtre en France. Nous y travaillons !