Ça patine en Macronie. En l’écoutant parler de la Corse on aurait dit du Hollande : filandreux, sans arêtes, mou du genou sur le sens des phrases prononcées. Sans notre esprit taquin, nous-même n’aurions pas vu où est la ruse. J’en parle plus loin. Pour le reste, la pluie des annonces glisse sur le plumage des quidams sans pénétrer les esprits. L’axe de l’action du gouvernement ne se discerne plus que pour qui connaît…