Après les mobilisations de masse de ce samedi, à l’heure où j’écris ces lignes, les fractures du régime se propagent dans deux directions. La première dans la police. L’omerta a ses limites. Bientôt il faudra des noms de coupables. Les bouches s’ouvrent donc, car il est devenu évident que l’ère de l’impunité est mise entre parenthèses. On en apprend de belles à propos des « black blocs » que la police connaîtrait mais laisserait…