J’adore le train. Ses démarrages progressifs, le film au carreau de ces paysages toujours inconnus, la balade vers le wagon bar et les amis qu’on y retrouve, ses personnels populaires et simples. Et le droit de ne pas être sans cesse interrompu quand j’écris où bien quand je lis un livre ou la pile de journaux que j’embarque… J’angoisse en voyant le train devenir un avion à roulettes. Car voici l’âge des gares loin…