Cette rentrée comme les précédentes s’ouvre sur une pluie de mauvais coups gouvernementaux. La capacité de résistance et de riposte n’est pas ce qu’elle devrait être. C’est la France : la politique et le social y sont toujours très étroitement liés. Aujourd’hui, coincé dans les contraintes de portefeuille et devant le spectacle sidérant que donne le principal parti d’opposition les gens du commun rentrent la tête dans les épaules et grincent des dents contre la pluie et le ciel gris. Celui qui cherche à faire bien son travail d’opposant ne sais plus où donner de la tête tant il est sollicité. Le mieux est de tenir chacun sa tranchée et de porter main forte aux autres dès qu’on le peut, sans rien lâcher soi-même.. Pour ma part je ne veux pas laisser passer sans combat la visite du pape et son implication de long terme sur la politique française. Je mesure bien que ce n’est qu’un aspect de notre réalité. Mais cette barricade n’est guère encombrée; si je m’en retirais il n’y resterait plus guère de parole politique de gauche. Je vais donc m’exprimer en divers endroits sur ce sujet. Ici aussi. Mais comme je sais bien que l’on attend de la fréquentation de mon blog des informations directes sur la préparation du congrès du PS, je vais en donner aussi.
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