Pendant une journée, un attentat bidon au cutter a nourri ce que la sainte corporation appelle un « emballement médiatique ». C’est-à-dire que pendant une journée, sans autre preuve que l’envie d’en rajouter pour faire gicler l’adrénaline, des envoyés spéciaux, lecteurs de prompteur et autres gugusses ont fait peur à tout le monde gratuitement sans vérification ni prudence. Une honte pure, un échec total du métier qui rappelle une fois de plus l’état de délabrement de…