Le 21 janvier, je dialoguais à Marseille avec le groupe des « écrivains insoumis ». Il s’agit de militants marseillais engagés depuis le début de mon mandat de député dans une initiative novatrice et riche en enseignements. Lorsque j’ai été élu à l’Assemblée nationale, je cherchais, comme mes collègues du groupe insoumis, un moyen de faire ma permanence parlementaire un lieu utile pour les gens de ma circonscription. Je voulais rompre avec les logiques…