Sous la pluie, je méditais sur le désordre du cycle de l’eau qui accable la planète. Soudain, novembre fit une pause en août. Penser à la sécheresse redevenait moins exotique. Je jure de ne pas revenir sur l’amertume que je ressens d’avoir été ignoré sur ce thème, alors que je démarrais ma campagne présidentielle avec lui. Promis. J’ai mieux à faire. Le climat sent bon l’anticapitalisme. Son changement erratique est un puissant index pointé…