Nous allons donc siéger 18 jours consécutifs, nuit et jour, pour tenir le calendrier parlementaire. Les incidents à répétition sont donc garantis et un travail de mauvaise qualité est certain. Pour le régime, c’est l’occasion de mettre en pratique un de ses moyens habituels de mépris du parlement. Si vous voulez que ça aille plus vite : retirez vos amendements, taisez-vous ! Et ainsi de suite. Dans cette cohue va se régler la réforme constitutionnelle, et…