6 coups de fusil, 14 coups de couteau dans un mannequin pour vérifier que les insoumis sont mortels, puis une gifle, puis un enfarinage : la violence pour l’instant symbolique de l’extrême droite occupe le devant de la scène. De façon spectaculaire, la complaisance médiatique s’accroît d’autant. Elle prend la forme vicieuse de la fausse angoisse : « comment en est-on arrivé là ? ». Cette presse là veut ancrer l’idée qu’elle n’a aucune responsabilité dans…