La troisième Convention de la France insoumise vient de s’achever. Dans le train qui me ramène à Paris, j’ai retrouvé mon clavier pour rédiger ces lignes de bilan. Tout va bien, comme souvent. Un évènement de cette nature, c’est forcément et d’abord un moment humain. Celui de la longue préparation invisible de toutes les conditions matérielles, dont l’essentiel est réalisé par nos propres moyens. C’est cette énorme activité pour réaliser un hébergement militant qui…