donald trump

Bye Mister Trump! You have been grabbed by the balls!

On peut dire de ce dimanche qu’il entre dans l’histoire. Le départ du président Trump sans avoir signé le communiqué final du G7 ouvre une nouvelle page cruciale. L’affrontement entre les secteurs du capitalisme mondial va donner le rythme. Si les États-Unis en sont là c’est que la crise sous-jacente de son économie réelle anémiée et de son économie financière fragilisée vont plus mal qu’on ne le croyait. Je rattache cette situation à l’explication que j’en ai donnée dans le « cours de l’école de formation de la France Insoumise ». L’évènement est considérable. Il porte en lui un orage immense.

Bon, sinon, cette fin de semaine a été rude. On a obtenu quand même l’arrêt des débats parlementaires pour le samedi et dimanche. Ouf ! Car j’avais mal au crâne à force de parler. Entre les discours à la tribune de l’Assemblée, les heures de débats sur les textes, les rencontres à mener comme Président de groupe et les vidéos à tourner, j’ai touché le bout. Je découvre qu’il y a une limite physique aussi à la prise de parole. Je vis d’ailleurs dans un univers de gens épuisés. Dix sept jours consécutifs de séance à l’Assemblée nationale ont lessivé députés et collaborateurs au-delà de ce que tous avaient vécus jusque-là. À dix-sept seulement, la cadence est infernale. Le personnel de l’Assemblée nationale aussi n’en peut plus. Seul le méprisable Plantu, l’homme à qui le Qatar a donné un prix de « la liberté de la presse » de dix mille dollars, peut ironiser sur ce thème, lui qui vit grassement en faisant un dessin par jour. Et seul Le Monde peut publier une injure anti parlementaire aussi vulgaire sur sa une.

À mes yeux tout cela prend place dans cette ambiance si spéciale que nous vivons. Il est devenu évident que la présidence des riches pousse partout à une violence qui suffoque la société. Je ne sais pas comment cela se dénouera. Comment la situation sera purgée. L’effondrement de la cote du pouvoir, un an à peine après sa mise en place, n’est pas une anecdote. La bataille sur les comptes de campagne, commencée comme un grossier traquenard pour me démolir, se retourne en son contraire et démolit le candidat victorieux et ses séides. En choisissant de se tourner contre nous avec un signalement judiciaire et avec mon rejet de partie civile dans l’enquête contre ma tentative s’assassinat, le régime nous donne une indication sur sa manière de vouloir gérer l’opposition populaire. Il n’y aura jamais de trêve ni de limite dans sa volonté de « frontaliser ». Et il veut, comme dans bien des pays du monde, « judiciariser » son combat contre nous. Je me le tiens pour dit. Je ne suis pas le seul.

Sur le terrain des comptes de campagne Macron n’est pas en grande forme. Moi si. Les Républicains vont peut-être eux aussi sortir du bois. Je demande que tous les comptes de campagne soient revus. Je demande que la Commission de comptes de campagne respecte ses propres règles. Que son incapable de président Logerot démissionne et ne soit pas augmenté, après son double fiasco « Bygmalion », « rabais Macron ». Qu’il démissionne pour avoir été incapable de dominer son rôle et son rapporteur sur mon dossier de campagne. Il va de soit que toutes le dénonciations concernant le fonctionnement de cette commission, ses dirigeants et ses modes opératoires seront très bien reçues. En effet une équipe se forme autour de moi pour relever le gant du défi lancé par Logerot quand il a révélé mon signalement deux mois après l’avoir fait pour créer une diversion. Et cela en avouant n’avoir regardé que cette semaine ce qui se trouvait dans le compte de Macron ! Donc un mois après la décision du conseil constitutionnel ! Jamais avant ! Alors, s’il ne l’a jamais regardé, pourquoi l’a-t-il défendu publiquement ? Dorénavant tout le monde peut porter plainte contre le compte de Macron. Je forme le vœux que bien des gens mieux équipé que moi n’hésitent pas. C’est ce que vient de faire Anticorp. D’autres vont sans doute y penser. Qui sème le vent récolte la tempête. Là-dessus je retourne à ma tranchée.

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trum macron
Crédit photo : Maison Blanche
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parti de gauche
Crédits photo : Jakub Szypulka
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real fake news
Crédits photo : GDJ
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emmanuel macron
Capture d’écran
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Le logo du parti d’extrême droite ukrainien Svoboda
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