Une bonne tournée de camomille s’impose au plus haut niveau du ministère de la Justice. Belloubet perd pied. D’abord elle me traite de paranoïaque. C’est plutôt nul car il s’agit d’une maladie et c’est toujours bête de flétrir quelqu’un en stigmatisant les malades. Le malade ne choisit pas sa maladie. Elle s’impose à lui. Dans une bataille politique, nous choisissons nos angles et nos arguments. Même Belloubet, si souvent indifférente aux autres, devrait être…